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dc.contributor.author |
Arab, Sonia |
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dc.date.accessioned |
2020-01-29T12:57:51Z |
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dc.date.available |
2020-01-29T12:57:51Z |
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dc.date.issued |
2015 |
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dc.identifier.uri |
http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/5050 |
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dc.description |
Bibliogr. ill. 230 p. |
fr_FR |
dc.description.abstract |
Les contaminations alimentaires ne cessent d’occuper notre quotidien et les saisons chaudes sont particulièrement connues par leurs lots d’intoxication de toutes sortes. Parmi ces aliments figure les poissons pêchés ou élevés dans des conditions plus au moins artificielles. Contrairement à beaucoup de pays, de la cote Méditerranéenne, l’Algérie s’est lancé tardivement dans l’élevage des poissons et particulièrement les poissons marins. A cet effet, notre étude a été initiée pour répondre aux questions posées aussi bien par les aquaculteurs, les autorités de régulation ainsi que le consommateur. Parmi ces nombreuses questions, certaines sont liées à la qualité gustative de ces poissons élevés en mer, mais dans des conditions de confinement, qui augmenteraient les risques de contaminations horizontale et/ou la propagation rapide de maladies. C’est dans ce contexte, que nous avons entrepris ce travail afin de répondre au moins aux questions relatives à la contamination bactérienne chez deux espèces élevées dans une région centre de l’Algérie. Les résultats obtenus ne laissent aucun doute sur la présence d’une grande variété d’espèces bactériennes, dont certaines sont particulièrement pathogènes pour l’homme. Ces bactéries se trouvent au niveau de la flore de loup de mer, la daurade royale ainsi que l’eau de mer de la station piscicole à Cap Djinet (wilaya de Boumerdès) pendant deux périodes estivale (chaude) et hivernale (froide).
Au total 225 échantillons (120 loup de mer ,80 daurade royale et 25 eau de mer) ont été prélevés pour faire des analyses microbiologiques. Onze agents pathogènes ont été isolé, Escherichia coli était l’espèce la plus dominante, avec une prévalence de 97.5 % suivi de Vibrio alginolyticus (52.44%), Aeromonas hydrophila (47.5), Pseudomonas aeroginosa (41.33%), Vibrio cholerae (39.55), Epasteurella multocida (27.55%), Proteus vulgaris et Proteus mirabilis (27.55%), Vibrio hollisae (13.33%) et Klebsiella pneumonia (8.88%). En effet, la diversité des espèces bactériennes démontre de l’importance de ce genre d’étude dans les milieux aquacoles aussi bien marin que d’eau douce, afin d’évaluer le risque sanitaire lié à la manipulation ou à la consommation de ses produits cru ou mal cuit. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr. |
fr_FR |
dc.publisher |
univ- blida 1 |
fr_FR |
dc.subject |
Bactéries |
fr_FR |
dc.subject |
Vibrio |
fr_FR |
dc.subject |
Loup de mer |
fr_FR |
dc.subject |
Cap djinet |
fr_FR |
dc.subject |
Daurade royale |
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dc.subject |
Algérie |
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dc.subject |
Piscicole |
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dc.subject |
Boumerdès |
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dc.title |
Contribution à l'étude de la contamination microbiologique d'un élevage piscicole par les germes pathogènes dans la région de Cap Djinet Boumerdès |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |
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