Afficher la notice abrégée
dc.contributor.author |
LEMGHARBI, EL-ALIA |
|
dc.contributor.author |
ADMANE, FATMA ZOHRA |
|
dc.date.accessioned |
2019-10-13T14:27:19Z |
|
dc.date.available |
2019-10-13T14:27:19Z |
|
dc.date.issued |
2018-06 |
|
dc.identifier.uri |
http://di.univ-blida.dz:8080/xmlui/handle/123456789/760 |
|
dc.description |
64p.;ills.;+cd room |
fr_FR |
dc.description.abstract |
Nous avons effectué une enquête basé sur un questionnaire a été mené sur 25 élevages ovin
dans les communes Ain-Salah et Fouggaret-Ezzoua entre le mois de Février et Avril de l’année
2018.
Les résultats de l’enquête montrent que l’élevage ovin dans la région d’Ain-Salah est
relativement ancien. En effet 100 % des éleveurs enquêtés ont déclaré avoir commencé à faire
de l’élevage ovin depuis plus de 5 ans. Les élevages sont gérés dans la majorité des cas par des
hommes. Quand aux logements des ovins, l’enquête a révélé une variété de logis, dont 84%
sont des enclos contre 16% de bergerie. Concernant l’alimentation, elle est basée sur les dattes,
paille, céréales et fourrage vert et complémentée par les restes de repas et épluchures de
légumes. Les animaux sont en stabulation entravée dans 100% des élevages visités et les
animaux utilisés sont des races locales et des races étrangères. L’élevage du mouton se fait
principalement pour la production de viande.87% des élevages sont situés en milieu citadin. La
gestion est à prédominance individuelle et familiale dans 100% des cas. La majorité des
éleveurs possèdent de jardin (djenennes), (64%) où ils pratiquent des différentes cultures
agricoles ; palmier dattier (47%), céréales (30%) et cultures maraichères à 23%.La saillie des
femelles est libre dans 100 % des élevages enquêtés qui se fait par des géniteurs qui
proviennent dans 100% des cas du même élevage que la femelle.
Les pathologies les plus rencontrées sont les maladies parasitaires (la gale) ; digestives
(diarrhée constipation) ; métaboliques (hypocalcémie, chute du poil) ; mammite. Sur les 25
éleveurs enquêtés il y a que 40% des éleveurs qui traitent leurs animaux chez le vétérinaire
privé et la majorité (60%) font de l’automédication en utilisant des plantes et moyens
traditionnelles. Pour La prévention, les éleveurs vaccinent uniquement contre l’entérotoxémie.
. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.publisher |
INSTITUT DES SCIENCE VETERINAIRE -université blida |
fr_FR |
dc.subject |
élevage traditionnel |
fr_FR |
dc.subject |
ovin |
fr_FR |
dc.subject |
logement |
fr_FR |
dc.subject |
enquête |
fr_FR |
dc.subject |
maladies |
fr_FR |
dc.subject |
Ain-Salah |
fr_FR |
dc.subject |
djennen |
fr_FR |
dc.subject |
Algérie |
fr_FR |
dc.title |
CONTRIBUTION À L’ETUDE DE L’ELEVAGE OVIN DANS LA REGION D’ AINSALAH. |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |
Fichier(s) constituant ce document
Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)
Afficher la notice abrégée