Université Blida 1

Etude du stress oxydatif , les caractéristiques épidémiologiques et anatomopathologiques au cours d’une chimiothérapie néoadjuvante chez des patientes atteintes d'un cancer du sein

Afficher la notice abrégée

dc.contributor.author Menad, Hadjer
dc.contributor.author Morsel, Imene
dc.date.accessioned 2020-12-16T10:02:17Z
dc.date.available 2020-12-16T10:02:17Z
dc.date.issued 2020-09
dc.identifier.uri http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/7632
dc.description 47 p., ill., cd-rom, 30 cm fr_FR
dc.description.abstract Le cancer du sein est le cancer féminin le plus fréquent à travers le monde. De multiples thérapies ont été développées afin de lutter contre ce cancer. Cependant, la toxicité de certains traitement, notamment la chimiothérapie, peut augmenter les dommages oxydatifs et contribuer à l’évolution du cancer vers le stade métastase et à la résistance médicamenteuse. La présente étude a concerné 9 patientes, récemment diagnostiquées pour un cancer du sein et programmées pour une chimiothérapie néoadjuvante au service d’oncologie médicale du CMPC. Après avoir signé un consentement éclairé, les patientes ont été soumise à questionnaire détaillé, nous permettant de définir les facteurs de risques et pronostiques. Nous avons aussi étudié les dossiers médicaux de ces patientes et réalisé une synthèse bibliographique des articles traitant la relation « stress oxydant-cancer du sein ». Dans le but d'étudier l'effet de la chimiothérapie néoadjuvante sur le fonctionnement des leucocytes en comparant les biomarqueurs pro-oxydants et antioxydants dans un groupe de femmes atteintes d'un cancer du sein et chez les femmes en bonne santé. L’étude épidémiologique a révélé une moyenne d’âge de 51 ans. 6 patientes ont eu leur ménarche à un âge précoce (≤ 12 ans), 5 patientes ont pris des contraceptifs oraux, 5 étaient multipare, 5 femmes n’ont jamais allaité ou pendant une courte durée et 5 ont été ménopausée après 50 ans. La majorité des patientes présentaient diverses pathologies qu’elles soient liées au sein, au métabolisme ou au système immunitaire. De plus, 3 patientes avaient un antécédent familial de cancer du sein ou d’autres cancers (n=5). Le régime alimentaire de la majorité des patientes était déséquilibré justifiant ainsi leur surpoids et 5 d’entre elles ont avoué être soumise à un stress élevé. Concernant l’aspect anatomopathologique, nous avons constaté que le type histologique le plus fréquent était le CCI (n=5), 5 des tumeurs étaient de grade 2, 4 étaient classées dans le triple négatif et 3 de type Her2. Les espèces réactives de l’oxygène (ROSs) générés pendant la chimiothérapie, peuvent interférer avec l'efficacité du traitement. Plusieurs arguments sont avancés par les partisans de cette école, et proposent leur utilisation comme biomarqueurs diagnostic et pronostic dans le cas du cancer du sein. Il aussi été recommandé de compléter la chimiothérapie avec des antioxydants. fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.subject Cancer du sein fr_FR
dc.subject stress oxydant fr_FR
dc.subject chimiothérapie néo adjuvante fr_FR
dc.subject biomarqueurs pro- et antioxydants fr_FR
dc.title Etude du stress oxydatif , les caractéristiques épidémiologiques et anatomopathologiques au cours d’une chimiothérapie néoadjuvante chez des patientes atteintes d'un cancer du sein fr_FR
dc.type Thesis fr_FR


Fichier(s) constituant ce document

Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)

Afficher la notice abrégée

Chercher dans le dépôt


Recherche avancée

Parcourir

Mon compte