Résumé:
Plusieurs études ont établit l’effet de la deltaméthrine sur les paramètres de la reproduction masculine, chez les rats, les souris et les lapins.
Ce travail s’articule principalement sur deux parties : une partie pratique et une partie théorique.
Afin d’évaluer l’effet de pesticide deltaméthrine sur les paramètres de la reproduction masculine ; dix-neuf lapins on était réparti en trois lots, un lot témoin (trois lapins adultes) et deux lots expérimentaux exposés à la deltamethrine (huit lapins pour chacun) ; le premier groupe est traité à la vitamine E, le deuxième était sans traitement.
Nous avons commencé notre étude expérimentale par des tests de bases (spermogramme par le CASA, prélèvement sanguin pour effectuer les bilans biochimiques et enzymatique). Vu la propagation de la pandémie du COVID-19, le travail est interrompu et on s’est penché sur une étude théorique en restant sur la même problématique.
De ce fait nous avons choisis vingt- et –un articles pour atteindre les objectifs soulignés.
Les résultats trouvés par les auteurs ont montré une diminution dans les paramètres spermatiques (concentration, motilité, vitalité, morphologie) ainsi que dans les paramètres hormonaux (LH, FSH, testostérone, et l’inhibine B) et enzymatique (SOD, GPx, GSH, et autres) chez les rats, souris.
Prenat l’exemple des rats ; la diminution est important des paramètres spermatique chez certains études (concentration : 48%, motilité : 87%, vitalité : 40.13%, morphologie : 253.74%). Et moins importante chez les articles restants (concentration :<20 %, motilité :<15%, vitalité : 2.5%, morphologie : 44.21%).
Pour le bilan hormonal et enzymatique respectivement, la plupart des articles ont marqués une variation importante des hormones sexuels a était marqué après l’exposition a la deltaméthrine (LH : 52%, FSH : 47%, testostérone : 79.31%, SOD : 28.36%, GPx : 27.07%, GSH : 41.98%). Cette diminution est moins remarquable chez les autres études (LH : 7%, testostérone : <15%).
L’exposition à la deltaméthrine à des effets génotoxicique en entrainant des fragmentations d’ADN des suppressions ainsi que des ruptures.
Le traitement de divers antioxydants (extrait de gingembre, vitamine E/sélénium, curcuma, pélargonium, l’huile d’avoine), chez les rats et les souris améliore les performances de la reproduction.
La deltaméthrine provoque une production excessive des ROS, ce qui entraine un déséquilibre de système de défense contre ces derniers qui est la première cause de l’apparition du stress oxydatif testiculaires et donc le disfonctionnement du système reproducteur, par l’altération des fonctions physiologique.
L’utilisation des antioxydants ont un effet cyto-protecteur sur les testicules et la réparation des altérations histo-pathologique provoquées par la DEL, ce qui permet d’augmenter la défense par antioxydant telles que GSH, GST, GPx, SOD et le CAT, et la diminution de taux de LPO.
À la fin de cette étude, nous avons pu conclure que l’exposition à la deltaméthrine peut causer une infertilité masculine, et que les antioxydants utilisés peuvent améliorer cette déficience.
