Résumé:
La viande blanche constitue une source protéique incontournable dans le monde. Le poulet de chair est un maillot important dans le modèle de consommation de l’Algérien, cependant, les performances aux seins de nos exploitations demeurent en dessous des normes. Les raisons du déclin des performances coïncident avec l’avènement de la prohibition des antibiotiques facteurs de croissance et ceci touche pratiquement tous les pays pratiquant cette spéculation. La non technicité des éleveurs, le choix de l’aliment, la précarité des bâtiments, la non-conformité de l’équipements et des paramètres d’ambiance sont parfois des causes particulières aux élevages Algériens.
Les chercheurs dans le monde accomplissent beaucoup d’efforts pour répondre à la première problématique, en essayant de trouver des alternatifs aux facteurs de croissance proposant ainsi, probiotiques, phytobiotiques et enzymes.
L’objectif de la présente étude étant :
- D’apprécier l’efficacité et l’utilisation des enzymes exogènes dans l’aliment du poulet de chair, dont l’effet est apprécié par les performances.
- Dévaluer les règles de la conduite d’élevage et la conduite alimentaire, leur maitrise est à l’origine de l’expression du potentiel génétique de l’animal.
Les critères zootechniques retenus chez le poulet de chair afin d’apprécier l’effet d’un additif particulier sont, le poids vif, les consommations journalière et individuelle, les vitesses de croissance, les indices de consommation, les mortalités, le rendement à l’abattage et la qualité de la carcasse.
