Université Blida 1

Importance du potentiel hydrogène d'un environnement salin sur la nutrition minérale de deux glycophytes cultivées

Afficher la notice abrégée

dc.contributor.author Anissa, Bouklachi
dc.date.accessioned 2021-02-09T07:58:11Z
dc.date.available 2021-02-09T07:58:11Z
dc.date.issued 2015
dc.identifier.uri http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/9804
dc.description Bibliogr. ill. 173 p. fr_FR
dc.description.abstract Notre étude a porté sur le comportement de deux espèces maraichères, le haricot (Phaseolus vulgaris L.), variété Djadida et la tomate (Solanum Lycopersicum), variété Marmande, espèces sensible et moyennement sensible à la salinité respectivement, soumises à cinq traitements salins. Où le facteur potentiel hydrogène du milieu nutritif est soit naturel, soit corrigé par deux types d’acide (HNO3, H3PO4). La sensibilité de ces deux espèces à la salinité a été étudiée pour la détermination du comportement glycophytique sur les paramètres morphologiques, physiologiques et technologiques. Les résultats obtenus au niveau des plantes alimentées par la solution saline naturelle T4 montrent que le sel a un effet dépressif sur le développement des plantes notamment à travers les paramètres étudiés. La correction du pH du milieu alimentaire par l’acide phosphorique et l’acide nitrique (T1, T2 et T3) et la transformation du milieu salin naturel en solution nutritive (T5) ont permis d’avoir une amélioration considérable de la croissance des plantes de haricot et de la tomate et ce par rapport au milieu salin naturel (T4) à pH alcalin (7,8). fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.publisher univ- blida 1 fr_FR
dc.subject Haricot fr_FR
dc.subject Potentiel hydrogène fr_FR
dc.title Importance du potentiel hydrogène d'un environnement salin sur la nutrition minérale de deux glycophytes cultivées fr_FR
dc.type Thesis fr_FR


Fichier(s) constituant ce document

Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)

Afficher la notice abrégée

Chercher dans le dépôt


Recherche avancée

Parcourir

Mon compte