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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorEzzeroug, Rym-
dc.date.accessioned2021-07-13T08:04:07Z-
dc.date.available2021-07-13T08:04:07Z-
dc.date.issued2021-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/11888-
dc.descriptionBibliogr.fr_FR
dc.description.abstractCe travail de thèse a pour objectif d’estimer, dans un premier temps, les performances zootechniques de la souche ITELV2006 à G9 ainsi que les paramètres génétiques en relation avec la taille de la portée et de la croissance de 10 générations (G0 à G9). Dans un second temps, d’étudier le poids à la naissance, la croissance sous la mère et leurs facteurs de variation, ainsi que les facteurs affectant la survie des lapereaux en péri-sevrage. Enfin, l’étude des paramètres génétiques du poids individuel des lapereaux est réalisée. Dans la 1ère partie, les données issues de 81 femelles appartenant à G9 (266 données) et de 805 femelles de G0 à G9 (3242 parités et 18472 individus en croissance) sont analysées pour l’étude des performances zootechniques et des paramètres génétiques respectivement. La prolificité est en moyenne 8,37 lapereaux à la naissance et 5,82 lapereaux au sevrage. Elle varie significativement en fonction de la parité et de la saison (p<0,05). L'héritabilité varie de 0,025 à 0,126 pour les paramètres de reproduction et de 0,033 à 0,059 pour ceux de la croissance. La répétabilité de la taille de la portée est modérée à la naissance mais faible au sevrage (0,178 vs 0,087). Elle est de 0,146 et 0,259, respectivement pour le poids moyen au sevrage et à l’abattage. Les estimations de l’effet maternel environnemental sont plus grandes que celles de l’héritabilité, 0,072 pour le poids individuel au sevrage et 0,081 pour le poids individuel à 75 jours d’âge. Les corrélations génétiques et phénotypiques entre les critères de reproduction et ceux de la croissance sont élevées et négatives, en particulier avec le poids au sevrage (-0,848, -0,922 et -0,854 pour la taille de la portée à la naissance, le nombre de nés vivants et la taille de la portée au sevrage, respectivement). Dans la 2ème partie, 82 femelles nullipares sont utilisées. Les performances de la femelle et de sa portée sont étudiées durant les 3 premières parités. La croissance individuelle et la survie des lapereaux, de la naissance au sevrage et en fonction de plusieurs facteurs liés à la femelle et à l’environnement sont mesurées. Aussi, les paramètres génétiques en relation avec le poids individuel sont étudiés sur 1815 individus. Le poids de la femelle à la saillie et à la mise bas est de 3432g et 3362g respectivement. Les nullipares présentent un poids significativement plus élevé comparé à celui des multipares (p< 0,05). Le nombre de nés vivants est de +19% chez les multipares comparées aux nullipares et primipares. Le taux de survie des lapereaux varie entre 74 et 88%. Par ailleurs, à 5 et 7 jours d’âge, les lapereaux nés en automne présentent un poids vif significativement plus élevé comparé à celui des lapereaux nés en été (+10% et 7% respectivement). La lactation affecte significativement le poids individuel et le gain du poids des lapereaux, entre J5 et J35, en faveur des lapereaux issus des femelles non allaitantes (+4% et +18% respectivement). Le poids individuel du lapereau affecte significativement sa probabilité de survie durant toute la période péri-sevrage (p<0,001). Le cannibalisme diminue la probabilité de survie de 25 à 10% pour les lapereaux dont le poids à la naissance est compris entre 15 et 75 g respectivement. D’autre part, pour un poids de 45 g à la naissance, un écart de survie de +30% entre les lapereaux nés à l'intérieur ou hors du nid est noté. A J5, pour un poids à la naissance de 25g, le taux de survie diminue de 71% à 35% pour un nid d’une excellente et moyenne qualité respectivement. L’estimation la plus faible d’héritabilité (h2) est notée à la naissance (0,11). Les corrélations génétiques sont fortes à J5 et J7 (+0,79), mais modérées pour le reste des dates de mesure. A l’exception au sevrage, les corrélations phénotypiques sont fortes et positives entre les différentes dates de mesures (+0,59 à +0,83). Des valeurs élevées et croissantes de l’effet commun de la portée sont enregistrées entre J0 et J35. Cependant, des valeurs positives et différentes de zéro (0,04 à 0,11) de l’effet permanent (p2) sont notées. En conclusion, le progrès génétique obtenu pour l’ensemble des paramètres est positif mais faible, et les petites valeurs de l’effet permanent signifient une faible pression de sélection ou la dérive des gènes ou encore l’augmentation de la consanguinité. L’étude des paramètres génétiques du poids montre qu’une sélection à la naissance ou au sevrage est désavantageuse, or une sélection à J5 ou J7 serait souhaitable. Aussi, les caractères reproductifs et de croissance devraient être sélectionnés dans des lignées indépendantes.fr_FR
dc.publisheruniv-blida1fr_FR
dc.subjectcaracteristiquesfr_FR
dc.subjectcroisementfr_FR
dc.titleCaractéristiques zootechniques et de reproduction chez le lapin de souche synthétiquefr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Thèse de Doctorat

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