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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorFoughali, Asma-Amina-
dc.date.accessioned2021-10-11T13:22:20Z-
dc.date.available2021-10-11T13:22:20Z-
dc.date.issued2015-
dc.identifier.citationBlidafr_FR
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/12306-
dc.descriptionBibliogr.- papier support + 4 cd-romfr_FR
dc.description.abstractLe sondage du niveau de connaissance de 69 éleveurs de la région de Béni Hamidéne (Constantine), concernant les piroplasmoses bovines a révélé un manque d’information sur l’écobiologie des tiques et sur l’usage des acaricides. Il a révélé aussi la difficulté pour les éleveurs de reconnaître ces maladies et de les traiter à temps. 60% n’adoptent pas de prévention anti-tiques et, près de la moitié utilise des méthodes thérapeutiques traditionnelles. Les pertes économiques atteignent 10 % à 75%, voire 100% (mort de l’animal). Les 3/4 des bovins prélevés ont 1-2 ans (40%) et 3-5 ans (34%) et, issus de 03 races : croisée (76, 3%), locale (15,4%) et importé (8,3%). La taille moyenne du troupeau est de 10 têtes. Les élevages sont laitiers, semi-extensifs (92%) et, leur étable présente des crevasses aux murs (24/25) et les 2/3 abritent des petits ruminants, des poules et des pigeons (facteurs de grand risque de piroplasmoses). Parmi les 169 bovins examinés, prés de 19 % sont suspects de piroplasmoses (Safayer). La consultation a révélé surtout une adénite des préscapulaires et précruraux (66% et 44%), une hyperthermie (63%), de l’anorexie (47%), de l’anémie (40%) et des pétéchies oculaires et vaginales (38% et 22%). A l’analyse de leurs frottis sanguins, 40% sont positifs (Theilérie et/ou Babésie). Pour les infections simples, il y a présence de Theileria spp (17,2%), T.annulata (12,4%), A. marginale (3 ,6%) et B.bovis (1,8%). Pour les infections mixtes, on note: Theileria spp - A.marginale (5,9%) ; Theileria spp - B.bovis (0,6%), T.annulata - B.bovis (0,6%) et T.annulata - A.marginale (1,8%). La cinétique des piroplasmoses montre un pic de morbidité (32 cas) en juillet et, une raréfaction en automne. La race importée est plus affectée que la locale ou croisée (respectivement 57,14%, 34,61% et 38%). La piroplasmose affecte 22% (Aïn Bouchdikaa) à 100% (El-Chaabiya) des élevages. La theilériose prédomine dans toutes les mechtas, contrairement à la babésiose qui est plutôt rare. Le coût du traitement est en moyenne de 6.500 D.A.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisheruniv.blida 1fr_FR
dc.titleEnquête sur les piroplasmoses bovines dans la région de Beni Hamidene (Constantine)fr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Thèse de Magister

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