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Titre: Study of medically disqualifying among hospital staff affected in covid-19 units at the university hospital of Blida
Autre(s) titre(s): Etude des motifs d’inaptitude médicale au poste chez le personnel hospitalier a ecte dans les unités dédiées au covid-19 au chu de Blida
Auteur(s): Kibboua, M.
Bouriah, H. N. Benmesbah, S. Korichi
Belhadj Rabeh, F.
Benmesbah, N.
Korichi, S.
Mots-clés: Medically disqualifying, hospital sta , Covid-19, university hospital of BLIDA.
Inaptitude médicale, personnel hospitalier, COVID-19, CHU BLIDA
Date de publication: jui-2021
Editeur: Faculte de Medecine, Universite Blida 1
Résumé: The need for a restriction of ability for health personnel assigned to units dedicated to the management of COVID-19 has emerged among those who are more likely to develop serious forms of this disease or death, due to their age, comorbidities, ... OBJECTIVE: To identify the reasons justifying medically disqualifying for work in the COVID-19 units among the hospital sta at the university hospital of BLIDA. METHODS: This is a descriptive and retrospective epidemiological study on all the notices of medically disqualifying to work in the COVID circuit, issued by the occupational medicine department at the university hospital of BLIDA during one year (between 26 MARCH 2020 and 25 MARCH 2021). From the register "Workplace adjustment", the files of the concerned patients were withdrawn in order to exploit the following data: Gender, age, department of exercise, occupation, seniority in the position, and the reason justifying the restriction of aptitude. The data were analyzed using EXCEL. RESULTS: A decision of unfitness to perform activities in the COVID-19 units was pronounced in 60 cases. The hospital workers declared unfit had an average age of 44.66 ± 9.21, were women in 65% of cases. More than 50% of these employees were paramedics, 40% of whom were public health nurses. The distribution by service shows a predominance of decisions of unfitness delivered for the personnel assigned in first position in the service of physical medicine and rehabilitation (10 cases or 16,66%), then comes in second position the service of neurology and general surgery with 8 cases each one that is to say a rate 13,33%. Concerning the pathology at the origin of the incapacity, we find a clear predominance of endocrine disorders represented exclusively by diabetes (26.66%), cardiovascular diseases, represented essentially by arterial hypertension (HTA) in 25% of cases and uncontrolled asthma in 18.33% of cases. CONCLUSION: The withdrawal of vulnerable health professionals by the occupational physician remains an essential step to reinforce the safety of hospital personnel and thus limit serious forms and deaths in the event of contamination without hindering the continuity of care.RESUME CONTEXTE: La nécessité d’une restriction d’aptitude pour le personnel de santé a ecté dans les unités dédiées à la prise en charge de COVID-19 s’est imposée parmi ceux qui ont plus de risque de développer des formes graves de cette maladie ou de décès, du fait de, leur âge, leurs comorbidités. OBJECTIF: Recenser les motifs justifiant une inaptitude au travail dans les unités COVID-19 chez le personnel hospitalier du CHU de BLIDA. METHODE: Il s’agit d’une étude épidémiologique descriptive et rétrospective portant sur l’ensemble des avis d’inaptitude au travail dans le circuit COVID, délivrés par le service de médecine de travail du CHU BLIDA durant une année (entre le 26 MARS 2020 et le 25 MARS 2021). A partir du registre « Aménagement de poste », les dossiers des patients concernés ont été retirés afin d’exploiter les données suivantes : Sexe, âge, service d’exercice, la profession, l’ancienneté au poste, et le motif justifiant la restriction d’aptitude. Les données ont été analysées par EXCEL. RESULTATS: Une décision d’inaptitude à assurer des activités dans les unités COVID-19 a été prononcée dans 60 cas. Les hospitaliers déclarés inaptes avaient un âge moyen de 44,66 ± 9,21, étaient des femmes dans 65 % des cas. Parmi ces agents, plus de 50% étaient des paramédicaux, dont 40% étaient des infirmiers de santé publique. La répartition par service retrouve une prédominance des décisions d’inaptitude délivrées pour le personnel a ecté en première position dans le service de médecine physique et réadaptions (10 cas soit 16,66%), ensuite arrive en deuxième position le service de neurologie et de chirurgie générale avec 8 cas chacun soit un taux 13,33%. Concernant la pathologie à l’origine de l’inaptitude, nous retrouvons une nette prédominance des pathologies endocriniennes représentées exclusivement par le diabète (26,66%), des pathologies cardiovasculaires, représentées essentiellement par l’hypertension artérielle (HTA) dans 25% des cas et d’asthme non contrôlé pour 18,33%. CONCLUSION: Le retrait des professionnels de la santé vulnérables, par le médecin du travail, demeure une étape incontournable pour renforcer la sécurité du personnel hospitalier et limiter ainsi les formes graves et les décès en cas de contamination sans pour autant entraver la continuité des soins.
URI/URL: https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/16453
ISSN: 2676-1858
Collection(s) :revue

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