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dc.contributor.authorGuemdani, Sara-
dc.contributor.authorTeldjoune, Nour El Houda-
dc.date.accessioned2023-02-27T09:31:46Z-
dc.date.available2023-02-27T09:31:46Z-
dc.date.issued2022-07-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/21611-
dc.descriptionIll. ;tabl. ;66 cm ;cd-rom ;68 p.fr_FR
dc.description.abstractLes bactéries multi résistantes cause un sérieux problème de santé publique ce qui a accentué les travaux sur la recherche de nouvelles substances bioactives (métabolites, nanoparticules) produites plus spécialement par des champignons endophytes. Pour pallier à ce problème, ce travail est basé sur l’activité antimicrobienne de deux souches de C. rosea (G133, G312) et de B. bassiana (Sn 182) à l’encontre d’Escherichia coli, P. aeruginosa, S. aureus et C. albicans par méthodes de confrontation directe, de disques et de puits. L’activité antimicrobienne par méthode de confrontation directe a montré que C. rosea et B. bassiana exercent des activités antibactériennes plus ou moins considérables contre les bactéries à Gram négatif E.coli et P. aeruginosa, par rapport au Gram positif S.aureus. L’effet antifongique de C. rosea (G 133, G312) vis-à-vis de C. albicans, se traduit par l’inhibition de sa croissance mycélienne. Alors que B. bassiana (Sn 182) n’a montré aucun effet sur cette levure. Ces activités sont exercées soit par effets d’antibiose ou bien par phénomène de compétition vis à vis de l’espace et les nutriments. La détermination de l’activité antagoniste par la méthode de diffusion sur disque a révélé une capacité importante d’extrait chloroformique de C. rosea (G 133, G312) et de B. bassiana (Sn 182) a inhibé la croissance de souches utilisées par rapport à celle d’acétate d’éthyle. En présence de P. aeruginosa, une zone d’inhibition de 8 mm a été enregistrée en contact avec l’extrait chloroformique de C. rosea (G 133), alors qu’une faible activité (diamètre) a été constatée en présence de l’extrait acétate d’éthyle de C. rosea (G312). C. rosea et B. bassiana peuvent synthétiser les nanoparticules et plus spécialement les nanoparticules d’argent .La capacité de produire les nanoparticules d’agent a été confirmé par spectrophotométrie à UV-Visible et Zétamétrie qui a révélé une variation de taille (entre 14 et 57 nm) et de charge (entre 4 et 42 mv). Aucun effet n’a été constaté lors de l’utilisation des nanoparticules par la méthode de diffusion par puits. Par contre, les nanoparticules d'argent synthétisés par C. rosea (G 133) ont exercées des activités antibactériennes vis-à-vis de P. aeruginosa, E. coli et S. aureus avec des zones d’inhibition de 11 mm, 7 mm et 6 mm respectivement et aussi une activité antifongique de 11 mm contre C. albicans. D’après les résultats de l’antibiogramme, les substances bioactives de C.rosea ont un effet similaire de celui des antibiotiques Erythromycine (E 15), Oxacilline (OX5), Gentamicine (GMI 15) et Céfalexine (CN 30). En revanche, en comparant avec les diamètres des zones d’inhibition des autres antibiotiques, les diamètres des zones d’inhibition de l’extrait brut sont considérés comme faibles. D’après ces résultats, la souche C. rosea (G 133) peut représenter une source de nouvelles molécules bioactives pour résoudre le problème de la multi-résistance aux antibiotiquesfr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectC. roseafr_FR
dc.subjectmicroorganismes pathogènesfr_FR
dc.subjectactivité antimicrobiennefr_FR
dc.subjectB. bassianafr_FR
dc.subjectnanoparticules d'argentfr_FR
dc.titleL’étude de l’activité antimicrobienne des Beauveria bassianafr_FR
dc.title.alternativeClonostachys roseafr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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