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Titre: Etude de l’Antagonisme Bactérien dans le Bio-contrôle De Quelques Champignons Phytopathogènes
Auteur(s): ZERROUKI, Wafia
SLAMANI, Meroua
Mots-clés: Bactéries rhizosphériques Antagonisme
cultures fourragères
biocontrôle
Maïs
Champignons phytopathogénes
Mycotoxines(DON
Date de publication: sep-2022
Résumé: La lutte biologique devient une alternative prometteuse pour réduire l'effet des produits chimique (pesticides, dont la pollution des sols) ce qui a causé des problèmes sérieux sur l'environnement et la santé du consommateur, dans cette optique notre travaille porte sur l'étude des potentialités antagoniste in-vitro et in vivo de quelques souches rhisosphérique contre des champignons phytopathogène affectant les cultures fourragères. Dans notre travail nous avons fait une synthèse à partir des deux articles portant sur l'utilisation des rhizobactéries dans le biocontrôle des maladies affectant le maïs dans différentes régions dans le monde. Dans le premier article, les souches bactériennes utilisées sont Bacillus subtilus contre les agents phytopathogène de genre Fusarium dans deux milieux PDA et TSA. Ces souches ont montré des taux d’inhibition allant de 11.66 % jusqu’au 58.33 %. En plus de test d'antagonisme in vitro, les auteurs de ce article en fait des autres expériences concernant l'étude de l’effet antagoniste sur le nombre et la germination des spores , l'étude des effets des composé volatiles sécréter par la bactérie antagoniste et aussi une étude concernant l'essai d'antagonisme in vivo et par résultat la souche qui a montré une grande efficacité contre l'inhibition de croissance mycélienne c'est la souche SR-146 par un taux de 58 % . Dans le deuxième article, les rhizobactéries des genres Bacillus et Pseudomonas testées ont montré des niveaux différents d’inhibition de la croissance mycélienne in vitro de Colletotrichum graminicola. Rhizobactérie P23, du genre Pseudomonas, a provoqué une plus grande inhibition in vitro a un taux de 34,32 % contre C.graminicola, montrant un potentiel d'utilisation dans les futurs programmes de lutte biologique contre l'anthracnose foliaire du Maïs. Ces résultats indiquent que le biocontrôle rend la plante tolérante à la maladie en réduisant fortement l'évolution et en retardant l'apparition des symptômes, que l'inhibition totale du déclenchement de ces derniers
Description: Ill. ;tabl. ;dvd ;89 p.
URI/URL: https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/21740
Collection(s) :Mémoires de Master

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