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dc.contributor.authorGuerdad, Rahma-
dc.contributor.authorElhadef, KAOUTHER-
dc.date.accessioned2023-03-01T10:50:01Z-
dc.date.available2023-03-01T10:50:01Z-
dc.date.issued2022-09-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/21916-
dc.descriptionIll. ;tabl. ;dvd ;52 p.fr_FR
dc.description.abstractLe carcinome de l’endomètre est la néoplasie la plus fréquente de l’appareil génital féminin, c’est une tumeur maligne qui se développe à partir des cellules épithéliales. Ce cancer touche généralement les femmes ménopausées. Le gène TP53 joue un rôle crucial dans la régulation de la prolifération cellulaire et la réparation de l’ADN et dans différents processus cellulaires. Alors que les mutations de ce gène sont étroitement associées à la carcinogénèse endométriale. Depuis la dernière classification OMS 2020, le typage moléculaire des carcinomes endométriaux est devenu de règle, car il est associé à des implications pronostiques et thérapeutiques. Nous avons réalisés une étude rétrospective sur une série des carcinomes l’endomètre. Cette étude a été faite pour un but de recherche des mutations de gène TP53 par la mise en évidence de l’expression de la protéine p53 codée par ce gène même , à l’aide d’une étude immunohistochimique spécialisée pour cette protéine. Les paramètres histologiques, anatomopathologiques et immunohistochimiques ont étés bien déterminés. Les résultats épidémiologiques de notre étude montrent que la majorité des cas qui nous avons étudiés sont des femmes âgées plus de 58ans c'est-à-dire des femmes "ménopausées", 76,9 % des cas, avec un âge moyen 59 ans. Les résultats de notre étude révèlent une prédominance des carcinomes endométrioïdes dans 84,6 % des cas et 15,4 % des carcinomes non endométrioïde. Le grade II est le grade dominant dans notre étude, dans 46,2 % des cas, et une prédominance de stade I dans 38,5 % des cas et de stade III dans 38,5 % des cas. Les résultats immunohistochimiques révèlent que la plupart des cas de notre étude sont des porteuses de la mutations de gène TP53 . Certains sont de type histologique endométrioïde de bas grade et d’autres de type histologique non-endométrioïde. Dans notre étude il y avait des limites, car on a utilisé la surexpression ou l’absence complète de l’expression comme substitution de la mutation alors que ces mutations ne sont pas examinées par une étude génétique. Nous proposons dans le futur de compléter notre étude par une étude génétique telle que la technique de séquençage de nouvelle génération (NGS) qui permet de détecté les mutations au niveau de gène TP53 pour : Pour développer une thérapie ciblée spécialisée. Pour confirmer la sensibilité de la technique immunohistochimique pour les mutationsfr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectcarcinome de l’endomètrefr_FR
dc.subjectimmunohistochimiefr_FR
dc.subjectendomètrefr_FR
dc.titleProfil immunohistochimique de la protéine p53 dans/ une série des carcinomes de l’endomètre du CPMCfr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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