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dc.contributor.authorABBOUD, Yasmina-
dc.date.accessioned2019-11-12T12:58:54Z-
dc.date.available2019-11-12T12:58:54Z-
dc.date.issued2015-10-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/2718-
dc.description48p ; ill ; 30cm ; + cd-romfr_FR
dc.description.abstractNotre travail portant sur 32 patients atteint de prolactinome (20 femmes et 12 hommes avec un sexe ratio homme/ femme de 0.6) suivis dans le service d’endocrinologie de l’Hôpital Central de l’Armée (HCA) d’Ain Naadja. Nous avons procédé a une étude rétrospective basé sur le traitement des dossiers de 29 patients hospitalisés, le bilan hormonal hypophysaire (préopératoire et poste opératoire s’il y a chirurgie) complet avec dosage de LH, FSH et principalement la prolactinémie (PRL). L’étude prospective correspondant à l’analyse biologique (LH, FSH, PRL) de 5 patients qui représente un suivi des bilans hormonaux hypophysaires préopératoires présent dans l’étude rétrospective, et l’étude histologique de prolactinomes de 3 patient, afin de définir les critères architecturaux et cytologiques. Dans notre série, l’âge moyen au moment de l’intervention au moment d’apparition des premiers symptômes est de 32 ±2ans, avec une prédominance féminine (62.5% contre 37.5%). Le volume tumoral est significativement plus élève chez les hommes par rapport aux femmes. Chez ces dernières, la majorité d’entre elles présentent un micro- prolactinome (34.37%), par contre, on trouve majoritairement chez les hommes des macro- prolactinomes avec une fréquence de 25%. Le taux très élevé de PRL est habituellement suffisant pour altérer le fonctionnement de l’axe gonadique provoquant ainsi une diminution des taux plasmatiques des hormones LH et FSH fortement corréler avec le volume tumoral soit (r=0.917 et r=0.744 respectivement), ainsi qu’une inhibition des taux de testostérone et oestrogène. Nous constatons alors une forte corrélation entre le rétablissement de la prolactinémie après traitement et le volume tumoral puisque la prolactinémie est rétablie chez 69% des patients (soit 28% atteins de macroprolactinomes et 41% atteins de microprolactinomes). De plus, le prolactinome réapparaît majoritairement pour les patients qui ont un macro-prolactinome soit 28.1%. Le traitement de l’hyperprolactinémie est capable de restaurer la fertilité initiale.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectProlactinomefr_FR
dc.subjectétude rétrospectivefr_FR
dc.subjectétude prospectivefr_FR
dc.subjectLH, FSH, PRLfr_FR
dc.subjectétude histologiquefr_FR
dc.subjectvolume tumoralfr_FR
dc.titleÉtude prospective et rétrospective des prolactinomes et leurs incidences sur la fertilité au niveau de l’hôpital de Ain Naajafr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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