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Titre: Etude de l’infertilité chez des patients atteints d’hypogonadisme acquis suivis au niveau du CHU Bab El-Oued
Auteur(s): Lounes, Chaima
Bakalem, Mohamed Zaki
Mots-clés: Hypogonadisme acquis
infertilité
baisse de la libido
dysfonctionnement érectile
syndrome de Cushing
acromégalie
prolactinome
adénome hypophysaire
Date de publication: sep-2023
Résumé: Notre travail porte sur l’étude de l’infertilité chez des patients atteints d’hypogonadisme acquis chez qui il existe des changements hormonaux avec effets sur l'organisme (baisse de la libido, dysfonctionnement érectile…etc), ces derniers ont un impact significatif sur la fertilité et développement sexuel. Notre étude a donc porté sur 27 patients atteints de cette maladie, suivis au niveau du service d’endocrinologie du CHU « Lamine Debaghine » de Bab El-Oued. Nous avons abordé l’aspect épidémiologique et clinique de l’hypogonadisme acquis ainsi que les maladies dont il résulte. Une double étude a été effectuée, rétrospective sur étude des dossiers de patients et prospective basée sur l’anamnèse et les dosages hormonaux (LH, FSH, Testo, E2, GH, PRL, ACTH). Nos résultats ont montré l’existence de 10 cas de syndrome de Cushing (âge moyen est de 25,5 ans), 10 cas d’acromégalie (âge moyen des patients au moment du diagnostic est de 33,4ans), 5 cas de prolactinome (âge moyen est de 22,6ans). Un seul cas avec macroadénome thyréotrope et 1 cas d’hypogonadisme hypergonadotrope ont été relevés. Nous avons constaté une atteinte élevée dans la tranche d’âge [20, 30 ans[ majoritairement féminine, avec des signes cliniques importants chez les deux sexes, tels que la baisse de libido, perte d’éjaculation, hypotrophie testiculaire chez les hommes, et des aménorrhée et dyspareunie chez la femme ; donc une infertilité chez les deux sexes. Les taux hormonaux de gonadotrophines (LH et FSH) sont majoritairement effondrés chez les patients avant le traitement, indépendamment du sexe, ce qui nous laisse supposé que les adénomes hypophysaires auraient un effet de compression sur l’hypophyse qui mène à la perturbation de la sécrétion des gonadotrophines. Les taux hormonaux donc viennent confirmer le diagnostic avec gonadotrophiques (FSH et LH) régulé partiellement grâce aux traitements des adénomes
Description: Ill. ;tabl. ;dvd ;35 p.
URI/URL: https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/29445
Collection(s) :Mémoires de Master

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