Etude de l'impact des tumeurs ivariennes sur la fertilité chez les jeunes femmes a l'hopital Beni Messous.

Abstract

L’infertilité est un facteur fréquemment associé tant aux tumeurs de l’ovaire de plus qu’aux cancers de l’ovaire. Cette association pose bien évidemment le problème de la prise en charge médicale de ces patientes après traitement conservateur. Les tumeurs de l’ovaire surviennent à tout âge avec des extrêmes allant de 14 à 80 ans, L’âge moyen du diagnostic des tumeurs malignes était élevé que celui des tumeurs bénignes. Pour but de rechercher l’impact des tumeurs ovariennes sur la fertilité des patientes. Nous sommes effectuées une étude prospective et rétrospective fait sur 60 patientes au service anatomopathologie du CHU Beni Messous l’hôpital Issad Hassani, entre 2014 et 2017. L’Age de nos patientes était de 15 à 45 ans, la majorité de notre population est jeune, en période d'activité génitale, Tous les 50 cas de tumeurs bénignes, 4 de tumeurs borderlines, et 6 cas de tumeurs malignes étaient de stades différents. Les complications des tumeurs de l’ovaire survenant principalement au premier trimestre favorisent la réalisation d’une chirurgie. La chirurgie a constitué l’arsenal thérapeutique, en s’efforçant d’être conservateur, sauf dans les cas de tumeurs compliquées ou devant les lésions malignes. Les taux hormonaux viennent confirmer le diagnostic avec un opposite des hormones gonadiques (oestradiol et progestérone), gonadotrophiques (FSH et LH) sont corrélés avec le volume du kyste. Le taux d’AMH est décline après la chirurgie. L’étude anatomo-pathologique nous a permis d’identifier la présence d’onze types de la tumeur ovarienne dans notre étude. Par rapport aux tumeurs malignes pour mieux confirmé nos résultats nous sommes effectuées une étude immunohistochimique.