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Titre: Contribution a l’etude des degats des aleurodes sur la culture de tomate approche comparative de l’effet de deux champignons verticilllum lecanii et paecilomyces fumosorose sur leur cycle de vie
Auteur(s): Moudoud, Razika
Date de publication: 2025
Editeur: Univ. Blida 1
Résumé: En Algérie, l’aleurode Bemisia tabaci (Gennadius, 1889) est considéré comme l’un des principaux ennemis naturels des cultures maraîchères. Un suivi des fluctuations de ce ravageur a été réalisé sur tomate, poivron, courgette et la fraise sous abris. Nos résultats indiquent que les fortes infestations de ce ravageur interviennent au cours de la phase croissance de ces plantes hôtes. Bemisia tabaci est responsable de dégâts considérables dans les pépinières et les jeunes plantations légumineuses, il est important d’approfondir des études sur sa bioécologie, sa répartition et ses plantes hôtes en vue de limiter les dégâts de ce ravageur et éviter sa propagation. Ce ravageur montre une intense activité sur la culture de tomate avec une fréquence de 43,73%. Le poivron est sa deuxième source de nourriture avec une présence évaluée à 24%. En troisième position vient celle de la courgette avec 19,14%, tandis que sur la fraise sa population ne dépasse pas 13,11%. L’essai de l’effet de deux champignons Verticillium sp et Poecilomyces sp sur l’aleurode B.tabaci sur tomate montre une variabilité affirmée entre les deux champignons concernant les taux de mortalité. Un taux de mortalité important a été obtenu avec une valeur d’environ 73 % par le champignon Verticillium sp contre 23% par Poecilomyces sp. Pour le cas de l’essai de l’effet de deux champignons Verticillium sp et Poecilomyces sp sur l’aleurode B.tabaci sur tomate, il ressort des résultats qu’une variabilité a été affirmée entre les deux champignons concernant les taux de mortalité. Un taux de mortalité important a été obtenu avec une valeur d’environ 23% de champignon Poecilomyces sp et 73 % par le Verticillium sp. Toutefois, la maîtrise des doses des produits et les périodes d’application sont des paramètres importants afin d’augmenter le taux de mortalité. Les maladies virales transmises par B. tabaci sont essentiellement causées par des Gemini virus et touchent de nombreuses plantes cultivées appartenant principalement aux familles des Fabaceae et Malvaceae. il serait intéressant d’établir un inventaire des bioagresseurs des cultures maraichères en question et leurs ennemis naturels en vu d’établir des programmes de lutte raisonnée contre les ravageurs de ces cultures en associant également d’autres méthodes de lutte, entre autres l’aménagement des agrosystèmes. Pour le cas de l’aleurode B. tabaci, il faut rappeler que cette mouche constitue une ressource abondante pour de nombreuses espèces d’insectes carnivores, au rang desquels figure la Coccinelle Scymnini Clitostethus arcuatus
URI/URL: https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/39547
Collection(s) :Thèse de Doctorat

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