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dc.contributor.authorBOUDJELLALI, Yassine-
dc.contributor.authorMECHIAK Yasmine MECHIAK Yasmine MECHIAK, Yasmine-
dc.date.accessioned2020-10-04T11:26:49Z-
dc.date.available2020-10-04T11:26:49Z-
dc.date.issued2018-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/6122-
dc.description.abstractLe monde de la construction ne date pas d’hier. Châteaux de pierre en Europe, temples japonais millénaires en bois, cathédrales gothiques, maisons d’habitants, pyramides, navires, palais, huttes, murailles et autres monuments témoignent du savoir-faire des bâtisseurs d’autrefois. Leurs techniques étaient souvent séculaires, leurs outils; simples et manuels, leurs matériaux durables et naturels. Au XXe siècle s’opéra de grands changements. Mécanisation et industrialisation, invention de matériaux, de techniques et d’outils diverses, multiplication des styles, rapidité de construction, prêts hypothécaires et autres manières de nous “simplifier la vie”. Mais qu’en est-il vraiment? Alors que la construction d’autrefois ne générait en fait aucun déchet à proprement dit (seulement des résidus de pierre, bois et autre matériaux issus de la nature), la construction moderne amena son lot de matériaux polluants et énergivores (béton, plastiques en tout genre, laine minérale, métaux, produits de finition, dérivés de pétrole, matériaux composites, etc.). Pour cela, plusieurs mains prennent l’initiative pour minimiser la destruction du monde naturel, parmi lesquelles l’approche de l’International Living Futur Institut qui développe des bâtiments vivants et régénératifs. C’est pour cette raison, nous avons pensé à établir notre recherche sur le développement régénératif et à une échelle plus importante que le bâtiment pour avoir des améliorations envergures et plus globaux, non seulement pour l’intérêt du monde naturel mais aussi pour fertiliser la vie humaine et satisfaire les besoins socioculturels, économiques et environnementaux. La finalité de cette étude va nous mener vers des pistes d’application des principes du paradigme régénératif afin de démontrer que la réconciliation de la relation de l’homme avec son environnement est possible , sans considérer l’homme comme destructeur, mais bien au contraire , le repositionner en lien avec les autres enjeux environnementaux pour aboutir à un monde vivant et un avenir plus durable.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisheruniversité BLIDA1 Institut d'architecture et d'urbanismefr_FR
dc.relation.ispartofseries;4.720.1068-
dc.subjectquartier régénératiffr_FR
dc.subjectzone chaudefr_FR
dc.subjectzone aridefr_FR
dc.subjectConceptionfr_FR
dc.subjectquartier résidentielfr_FR
dc.subjectville nouvelle d’El-Meneafr_FR
dc.subjectEl-Meneafr_FR
dc.subjectville nouvellefr_FR
dc.titleUn quartier régénératif dans une zone chaude et aride Conception d’un quartier résidentiel régénératif dans la ville nouvelle d’El-Menea. Un quartier régénératif dans une zone chaude et aride Conception d’un quartier résidentiel régénératif dans la ville nouvelle d’El-Menea. Un quartier régénératif dans une zone chaude et aride Conception d’un quartier résidentiel régénératif dans la ville nouvelle d’El-Menea.fr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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