Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/7703
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorKESSENTINI, Rahma-
dc.contributor.authorDJERMOUN, Ilhem Yasmine-
dc.date.accessioned2020-12-16T17:55:06Z-
dc.date.available2020-12-16T17:55:06Z-
dc.date.issued2020-09-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/7703-
dc.description38 p., ill., cd-rom, 30 cmfr_FR
dc.description.abstractBien qu'il existe plusieurs définitions et seuils utilisés pour décrire et caractériser le syndrome métabolique, les perturbations métaboliques sous-tendant de celui-ci sont constantes et regroupent la dyslipidémie, l'hypertension artérielle, la résistance à l'insuline, l'obésité et l’état pro-thrombotiques et pro-inflammatoires. Alors que certaines définitions d’experts considèrent l'obésité comme un critère essentiel, d'autres définitions se concentrent largement sur la résistance à l'insuline. L’objectif de ce présent document porte sur la recherche de l‘effet du syndrome métabolique sur la grossesse, nous avons réalisé une étude prospective sur 496 parturientes au niveau de service de génécologie obstétrique de centre hospitalière universitaire Hassiba Ben Bouali de Blida, dans la période durent pendant 1er au 30 juillet 2020. La collecte des données a été réalisée par l’exploitation des dossiers médicaux. Vu la situation sanitaire (Corona virus) et le manque d’informations sur les bilans biologiques dans les dossiers du patientes, la fréquence de la présence du syndrome métabolique n’a pas été confirmée que chez 05 parturientes (1,01%). De ce fait notre étude est concentrée sur deux des composantes du SM qui sont l’hypertension artériel et le diabète. Dans notre série, la fréquence de l’association de diabète et grossesse est de 9,5% avec une grande dominance de diabète gestationnelle (94%), alors que l’association de l’hypertension et grossesse est de 7,3% avec prédominance d’hypertension artérielle gestationnelle (41,7%). Quant aux facteurs de risque : l’âge maternel ≥ 30 ans, la multiparité, le surpoids et l’obésité (IMC≥25 Kg/m2) augmentent énormément le risque de développer ces pathologies au cours de la grossesse Notre étude a révélé un grand nombre de complications maternelles, dominées par la rupture prématuré des membranes qui représentent 14,6%, suivies par les infections urinaires qui ont été marqué chez 11,4% et la pré-éclampsie chez 6,8% des cas chez la population diabétique et par l’éclampsie chez 5,5% et l’insuffisance rénal aigue dans 2,8% des cas chez la population hypertendue. Pour les complications foetales, on a eu 38,1% des cas de macrosomie, 9,1% de prématurité, 9,1% de détresse respiratoire et 2,3% de retard de croissance in utero chez la population diabétique et 16,7% des cas de prématurité et 14% de retard de croissance in utero chez la population hypertendue. En conclusion, les désordres métaboliques sont une entité qui doit être diagnostiquée à un stade précoce afin que les professionnels de la santé puissent intervenir de manière à promouvoir la santé et à prévenir les complications.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectGrossessefr_FR
dc.subjecthypertension artériellefr_FR
dc.subjectsyndrome métaboliquefr_FR
dc.subjectdiabètefr_FR
dc.titleL’effet du syndrome métabolique sur la grossessefr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
132 M.RA.pdfBiologie et Physiologie de la Reproduction SNV1,91 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.