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dc.contributor.authorAZZOUZ, Mohamed Yassine-
dc.date.accessioned2020-12-16T19:35:36Z-
dc.date.available2020-12-16T19:35:36Z-
dc.date.issued2020-09-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/7719-
dc.description50 p., ill., cd-rom, 30 cmfr_FR
dc.description.abstractCette présente étude a été réalisée dans l’objectif de cerner la situation des TUM via une enquête épidémiologique au niveau d’une structure hospitalière à Alger (Clinique Privée). Cette enquête a comporté la fréquence des TUM, les facteurs de risque associés avec cette pathologie ainsi que les résultats de l’étude clinique et paraclinique (notamment l’histopathologie) et les bilans d’extension. Notamment la réalisation de 2 techniques histologiques (HE et IHC) sur des pièces de biopsie prélevées à partir des fragments de TUM. Ce travail a porté sur 56 patientes diagnostiquées porteuses de TUM par confirmation anatomopathologique entre Janvier 2012 et Décembre 2019 au niveau des services d’oncologie et de Gynécologie d’un Hôpital à Alger. Les résultats obtenus ont montré une moyenne de 7 patientes/année, avec un pic enregistré en 2019 par 15 patientes (P<0.05). La TUM était le 7ème cancer de la femme après les autres types de cancer du corps et était le 4ème cancer gynécologique dans cet hôpital (P<0.0001). L’âge moyen des femmes atteintes de TUM était de 55 ans. Un grand nombre d’entre elles étaient des paucipares (41.07%) et ont consulté dans un délai supérieur à 1 an à partir du début de la symptomatologie clinique (53.57%). L’âge moyen de ménarche était de 12 ans et demi. Parmi les antécédents gynéco-obstétricaux et médicaux des femmes avec TUM, on a noté l’infertilité (57.14%) et l’obésité (41.07%) (p<0.05). Les métrorragies (89.28 %) associées à des leucorrhées (44.64 %) étaient le motif de consultation le plus fréquent, suivi par les douleurs pelviennes (85.71%) (p<0.05). L’échographie a été pratiquée chez toutes les patientes et était pathologique dans 100% des cas ; alors que l’hystéroscopie a nécessité d’être complétée par des biopsies et analyses anatomopathologiques. Ces dernières ont révélé que l’adénocarcinome endométrioïde était le type histologique le plus rencontré (69.64%) suivi par l’adénocarcinome non endométrioïde (23.21%) (p<0.05). L’IHC a révélé une positivité intense aux différents marqueurs utilisés. Selon la classification de la FIGO 2009, la plus grande majorité des patientes de notre série avaient un stade IV (64.28%) et 26.78% étaient en stade II de l’évolution tumorale (p<0.05). Un bilan d’extension par IRM pelvienne a été réalisée chez seulement 58.93% (p<0.05). La TDM abdomino-pelvienne a été demandée chez 26 patients (46.42%). Ces deux examens ont permis de reclassifier les TUM et de noter des localisations secondaires. A la fin, ce travail a mis le doigt sur les TUM dans un hôpital à Alger. Cependant, d’autres études plus étalées d’un point de vue échantillon, région, et facteur épidémiologique seront à envisager.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectTumeurfr_FR
dc.subjectutérus,fr_FR
dc.subjectmalignefr_FR
dc.subjectenquête rétrospectivefr_FR
dc.subjectobésitéfr_FR
dc.subjectimmunohistochimiefr_FR
dc.titleContribution à l’étude des tumeurs utérines malignes chez la femme en Algériefr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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151 M.RA.pdfBiologie et Physiologie de la Reproduction SNV3,43 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


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