Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document :
https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/7916
Titre: | diversité des champignons Mycorhiziens arbusclaires associes lavandula stoechas et mentha rotundifolia du parc national de chréa |
Auteur(s): | Ismail, Asma Bendahib, Hadjer |
Mots-clés: | Mentha rotundifolia Lavandula stoechas mycorhizes arbusculaires potentiel infectieux mycorhizogène |
Date de publication: | sep-2019 |
Résumé: | L’étude a été entreprise dans le but d’établir le statut mycorhizien de deux espèces de plantes de la famille des lamiacée,Mentha rotundifolia et Lavandula stoechasdu parc national de Chréa, et d’évaluer le potentiel infectieux mycorhizogéne (PMI) de leurs sols rhizosphériques . Les examens microscopiques des racine des deux espèces traitées par la technique de Phillips et Hayman (1970) ont révélé la présence des structures caractéristiques des mycorhizes arbusculaires, principalement des hyphes, des arbuscules, des vésicules et des spores, indiquant le caractère mycotrophique des deux espéces. L’estimation du degré de colonisation par les champignons mycorhizogènesarbusculaires (CMA) en adoptant la méthode de Trouvelot et al. (1986) indique que L. stoechas de kérèche est l’espèce la plus fortement mycorhizée avec une fréquence de mycorhization (F%) de85.87% suivie par M. rotundifolia de Hakkou Ferraoun (67.04%), L .stoechas de Hakkou Ferraoun (63.79%) et enfin M. rotundifolia de Kérèche (51.53%). Le cortex des racines de L. stoechas de Kérèche est le plus fortement colonisé (57.19%), suivie par M. rotundifolia de Hakkou Ferraoun (30.81%), M. rotundifolia de Kérèche (29.22%) et enfin L. stoechas deHakkou Ferraoun (24.64%). L'intensitéde la colonisation développée dans la partie mycorhizée (m%) est de 65.85% pour L. stoechas de Kérèche, 55.44% pourM. rotundifolia deKérèche,45.91%pour M. rotundifoliade Hakkou Ferraoun et 37.55% pour L. stoechas de Hakkou Ferraoun. Le test biologique réalisésur le sorgho selon la méthode décrite par Plenchette et al. (1989) indiquentque le PIM50(quantité de substrat non stérile nécessaire à la colonisation de la moitié de la population) varie en fonction du type de sol (rhizosphérique ou nu). Pour les solsrhizosphériques, il faut moins de 4g de solnon stérilisé pour mycorhizer 50% des plantes pièges (2,67⩽ PIM50⩽ 3,51g)tandis qu’il faut beaucoup plus de 100g de sol prélevé loin de l''influance des racines (sol nu) pour mycorhizer 50% des plants.Le sol prélevé sous L. stoechasde Kérèche semble avoir le PIM50 le plus faible (2,64g), donc le pouvoir infectieux le plus élevé. |
Description: | 40 p., ill., cd-rom, 30 cm |
URI/URL: | http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/7916 |
Collection(s) : | Mémoires de Master |
Fichier(s) constituant ce document :
Fichier | Description | Taille | Format | |
---|---|---|---|---|
143 M.PS.pdf | Biodiversité et physiologie végétale SNV | 2,42 MB | Adobe PDF | Voir/Ouvrir |
Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.