Afficher la notice abrégée
dc.contributor.author |
IDJER, YASMINE |
|
dc.date.accessioned |
2022-03-30T11:01:33Z |
|
dc.date.available |
2022-03-30T11:01:33Z |
|
dc.date.issued |
2021 |
|
dc.identifier.uri |
http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/15118 |
|
dc.description.abstract |
Les édifices religieux sacrés ont toujours joui d’une place particulière dans toutes les sociétés,
car ils sont considérés comme l'un des symboles témoins de l'histoire des nations, et ils ont
même été hissés au rang des monuments historiques protégés dans de nombreux pays.
Caractérisée par son histoire riche en événements importants, l'Algérie a connu depuis
longtemps et grâce à sa situation stratégique la succession de nombreuses civilisations de
religions distinctes, et a hérité une multitude de styles architecturaux et de typologies urbaines,
qui ont accru la richesse de son patrimoine culturel, religieux et architectural.
Après la chute de l'Empire Ottoman et la fin du califat islamique, le monde oriental est devenu
le centre d'intérêt des pays occidentaux et la première destination des Européens désireux de
découvrir une nouvelle culture considérée comme étrange et unique. Ceci a coïncidé avec
l'émergence d'un nouveau mouvement artistique appelé l’orientalisme, qui a remarquablement
influencé le domaine architectural, notamment : l'architecture cultuelle chrétienne.
La période ottomane fut donc la dernière étape historique liée à la culture islamique en Algérie,
suivie de l'époque coloniale française, qui apporta et imposa son architecture Européenne
néoclassique, venue d'outre-mer, sous prétexte de construire une Algérie contemporaine.
Durant la période coloniale, l'administration française a tenté de changer de cap et de pensée
politique en suivant une nouvelle stratégie basée sur l’adoption du caractère architectural arabe
et local de l'Algérie dans ses constructions, dans une tentative par celle-ci de confondre
l’opinion publique et gagner la confiance du peuple Algérien sous le concept de protection.
L'emploi du style architectural oriental et mauresque s'est poursuivi jusqu'au début du XXe
siècle, où il a été reconnu comme un style d'État sous le nom de style néo-mauresque, et parmi
les architectes français les plus importants et les plus célèbres qui y excellaient, Henri Petit.
Dans cette présente recherche, nous aborderons de nombreux sujets liés les uns aux autres, en
commençant par un tour d'horizon portant sur le retour de la chrétienté en Algérie qui
s’accompagne par l’édification de plusieurs églises au centre de la capitale dans des styles
architecturaux variés, aux églises au goût oriental et mauresque, jusqu'aux églises à caractère
néo-mauresque, où nous développerons en détail la seule église anglicane d'Algérie appelée la
Sainte-Trinité, un des plus beaux chefs-d'œuvre de l'architecte Petit. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.publisher |
Université Blida1, Institut d'Architecture et de l'Urbanisme |
fr_FR |
dc.relation.ispartofseries |
;4.720.1751 |
|
dc.subject |
Édifices religieux sacrés |
fr_FR |
dc.subject |
orientalisme |
fr_FR |
dc.subject |
Algérie |
fr_FR |
dc.subject |
architecture religieuse chrétienne |
fr_FR |
dc.subject |
culture islamique |
fr_FR |
dc.subject |
époque coloniale française |
fr_FR |
dc.subject |
style architectural local |
fr_FR |
dc.subject |
style architectural arabe |
fr_FR |
dc.subject |
style mauresque |
fr_FR |
dc.subject |
style oriental |
fr_FR |
dc.subject |
style néo-mauresque |
fr_FR |
dc.subject |
églises |
fr_FR |
dc.subject |
centre de la capitale |
fr_FR |
dc.subject |
église Anglicane |
fr_FR |
dc.subject |
The Holy-Trinity |
fr_FR |
dc.title |
Le Néo-mauresque dans l’architecture cultuelle chrétienne d’Alger. Cas d’étude: l’église Anglicane « The Holy-Trinity ». |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |
Fichier(s) constituant ce document
Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)
Afficher la notice abrégée