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Titre: L’architecture au service de la société civile
Autre(s) titre(s): Projet d’une maison des associations à Timimoune (Algérie)
Auteur(s): Boukelsous, Amira
Oudainia, Nouha
Mots-clés: Site historique
cohésion sociale
développement socioculturel
institution associative
revalorisation
Date de publication: 2019
Editeur: université BLIDA1 Institut d'architecture et d'urbanisme
Collection/Numéro: 4.720.1416;
Résumé: La société oasienne revêt une forme particulière par son mode de vie comme par sa stratification sociale. Cela lui confère une richesse historique, cultuelle, architecturale et patrimoniale. Le maintien de ces richesses constitue l’un des enjeux de la société. La finalité est que cela vise à servir la cohésion sociale et accompagner le développement socioculturel. Dans cette approche, la société civile est un partenaire incontournable. Dès lors, l’architecture vient accompagner la société civile dans son rôle et faciliter ses missions. Le site est une ancienne base militaire coloniale en plein quartier historique de Tazeggaght. Des associations y ont élu siège en accord avec l’Assemblée populaire communale de Timimoun. Le site revêt ainsi une valeur historique et architecturale à préserver. Promouvoir la mission de la société civile nécessite une adaptation et une meilleure perception de l’espace. D’où la problématique que nous avons retenue : Comment concevoir le cadre bâti d’une structure associative sur un site hautement historique pour servir la cohésion de la société et accompagner son développement socioculturel ? Pour y répondre, la recherche doit envelopper plusieurs actions : théorique, analytique et synthétique. Elle emprunte un ensemble de méthodes : recherche bibliographique, analyse d’exemples, investigation sur site et entretien avec des responsables de l’administration et des acteurs de la société civile locale. Le travail de connaissance a permis de cerner les différents aspects liés à la maîtrise de la connaissance en rapport avec le thème du projet. Les résultats nous ont permis d’élaborer les fondements du projet architectural. Le projet consiste à réhabiliter un lieu de mémoire en s’appuyant sur la valorisation des lieux de mémoire, la contribution au développement socioculturel et l’établissement de la cohésion sociale. Par ailleurs, le projet, qui doit assurer l’intégration de l’extension à l’existant, doit répondre aux exigences d’efficience énergétique et de développement durable. La Maison des associations adopte la typologie ksourienne. Il s’organise autour d’un espace central la rahba. Il assure une ouverture par un parcours transversal qui permet sa liaison avec le ksar et la ville. Cela permet au projet d’assuré son rôle d’un centre cohésion sociale et d’accompagnement du développement socioculturel. La durabilité du projet est représentée à travers les matériaux de construction et l’intégration de panneaux photovoltaïques. Cela permet au projet d’être un bâtiment partiellement autonome en énergie. Le projet a pu vérifier les hypothèses à travers ce qu’il porte en termes de contributions au développement socioculturel et de cohésion sociale. Cela à travers son ouverture et sa liaison avec le ksar et la ville. Cela aurait été plus pertinent si l’étude était accompagnée par des travaux axés sur l’aspect socioculturel.
URI/URL: https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/24435
Collection(s) :Mémoires de Master

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