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dc.contributor.author |
Belabbas, I |
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dc.contributor.author |
Kechad, M |
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dc.date.accessioned |
2020-02-06T09:15:34Z |
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dc.date.available |
2020-02-06T09:15:34Z |
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dc.date.issued |
2017 |
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dc.identifier.uri |
http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/5222 |
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dc.description |
4.540.1.482 ; 58 p ; illustré |
fr_FR |
dc.description.abstract |
Les végétaux peuplaient la planète bien avant l’homme etont d’abord servi à le nourrirvia la
cueillette puis la culture [1].Leur emploi a rapidement évolué en constatant leurs propriétés
thérapeutiques pour traiter les blessures et les maladies. L’utilisation des arômes était
également connue des civilisations de l’antiquité pour des usages religieux, cosmétiques,mais
aussithérapeutiques [2]. Ce sont les égyptiens, 3150-1085 avantJésus-Christ, de l’époque
pharaonique, qui furent les premiers à avoir recours aux plantes aromatiques pour embaumer
les morts, avec notamment un mélange d’huiles essentielles comme l’huile de cèdre, de
basilic [3,4], et en utilisant des plantes aux propriétés antiseptiques connues comme le nard de
l’Himalaya, la cannelle, le ciste, des produits desécrétion aromatique comme l’encens, ou la
myrrhe [5].En Grèce antique, Hippocrate indiquait les bains aromatiques dans le traitement
des maladies de la femme [2]. Et dans les grandes épidémies, on faisait brûler de la lavande,
sarriette, romarin et de l’hysope [3]. Au 1er siècle apr. J-C., apparut le traité intitulé « De
materiamedica » écrit par Dioscoride, médecin et grand voyageur, dressant l’inventaire de 519
espèces de plantes et qui servira de référence dans la société Romaine et Arabe |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.publisher |
Univ Blida1 |
fr_FR |
dc.subject |
Romaine et Arabe |
fr_FR |
dc.title |
Extraction, modification et application antibactérienne des huiles essentielles de la Verveine " lippia citriodora " |
fr_FR |
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